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mardi 10 octobre 2023

RENOVATION - Etape 009 - Ravalement des façades


L’aménagement intérieur étant maintenant terminé, nous allons procéder au ravalement des façades. Ces travaux dépassant nos compétences, nous avons confié cette tâche à un façadier de métier.

1.     Mise en place du matériel

Le premier jour a été principalement consacré à l’amené du matériel et la mise en place d’un échafaudage.
















2.     Travaux de préparation

Le deuxième jour, les travaux de préparation ont commencé par le décroûtage de toutes les aspérités à l’aide d’un marteau-burineur. Travaux que nous avons effectué qu’à partir de 10h00, afin de ne pas réveiller les voisins.



















Ensuite, nous avons nettoyé les façades à l’aide d’un nettoyeur haute pression, afin d’éliminer tout enduit cloqué et poussière pouvant altérer l’adhésion du nouvel enduit.















Nous terminons la phase de préparation par l’application au rouleau d’un produit d’accrochage.































3.     Redressage des façades

Après avoir préparé l’ensemble des façades, nous appliquons un sous-enduit à base de ciment et chaux, type MPA35 de chez BAUMIT.

Le produit est appliqué à l’aide d’une machine à projeter et dressé à la règle et taloche.

















4.     Application enduit de finition

Après séchage de la sous-couche, nous appliquons l’enduit de finition sur le même principe que la sous-couche. Concernant l’enduit de finition, notre choix s’est porté sur l’enduit Monorex GF (grain fin) de chez PAREXLANKO, teinte G20.












Je vous laisse apprécier de vous-même le résultat final. Il nous reste qu’à débarrasser le chantier.
















5.     A suivre…

 


Merci pour votre attention et rendez-vous au prochain numéro, pour partager avec moi de nouveaux travaux.

lundi 10 juillet 2023

RENOVATION - Etape 8 - Peinture

Les doublages, cloisons et plafonds étant terminés, nous allons maintenant préparer les surfaces murales et les plafonds, puis procéder à leur mise en peinture. Sachant que le carrelage sera posé à la colle (absence de chape), nous avons décidé de réaliser les travaux de peinture avant la pose du carrelage. Cette chronologie nous évite de devoir protéger le sol. Des reprises seront éventuellement effectuées après la pose du carrelage et des plinthes pour affiner le résultat final.

 1.     Travaux de préparation

La qualité des travaux de peinture dépend principalement de l’état des supports et de la préparation qui sera effectuée avant leur mise en peinture. Cette phase ne doit donc pas être négligée.

Nous commençons ces travaux de préparation par un ponçage des plafonds et des surfaces murales, à l’aide d’une ponceuse girafe. Ce type de ponceuse permet de suivre la planéité du support et de pouvoir réaliser une grande partie du ponçage sans avoir besoin d’escabeau. De plus, cette ponceuse est munie d’un système d’aspiration, que nous avons branché sur un aspirateur industriel.

Malgré l’efficacité du système d’aspiration de notre ponceuse, ce type d’opération génère tout de même beaucoup de poussière et des équipements de protection sont donc indispensables. Pour assurer notre protection, nous nous sommes équipés d’un masque anti-poussière de type FFP2 et d’une paire de lunettes de sécurité de type masque.

Dans notre cas, le plaquiste ayant effectué un travail très soigné, aucune reprise d’enduit n’a été nécessaire.


 
 

Après un ponçage minutieux des plafonds et surfaces murales, nous nettoyons et rangeons le matériel, puis passons l’aspirateur dans toutes les pièces, pour éliminer toutes les poussières qui sont malgré tout tombées au sol.

2.     Choix des peintures

Aujourd’hui un vaste choix de peintures existe sur le marché et certains pourraient rencontrer des difficultés pour choisir celle qui convient le mieux à leur projet. Ce choix va se faire suivant plusieurs critères :

 ·       2.1 – Type de support (maçonnerie, plâtre, bois, métal, PVC, cuivre, etc)

Nous devons avant tout, choisir un type de peinture adapté au support à traiter. En ce qui concerne notre chantier, nous avons choisi une peinture pour les plafonds et surfaces murales en plaques de plâtre, puis une autre pour les portes et huisseries.

·         2.2 – Ambiance atmosphérique (locaux secs, locaux humides, extérieur, etc)

Nous devons ensuite vérifier que la peinture choisie est adaptée à l’atmosphère du local, notamment pour les locaux humides (salle d’eau et cuisine).

·         2.3 – Aspect souhaité (Brillant, satiné, velours, mat)

Le brillant met en valeur la couleur et confère une ambiance tonique. Il est principalement utilisé pour faire ressortir des éléments de décoration. Cependant, la haute réflexion de lumière nécessite une excellente préparation des supports.

Le satin reflète la lumière et permet d’avoir un rendu à la fois soyeux et chaleureux. Cette finition, très facile d’entretien, convient à toutes les pièces et plus particulièrement aux locaux humides (salle d’eau, cuisine). Il nécessite tout de même une bonne préparation des supports.

Le velours reflète peu la lumière et masque ainsi les légers défauts du support. Il permet de créer une ambiance feutrée et élégante, tout en offrant les propriétés de lavabilité des peintures satinées. L’aspect velours est le compromis idéal entre matité et facilité d’entretien.

Le Mat absorbe la lumière sans la renvoyer, ce qui permet de masquer les petits défauts de surface. Il accentue l’effet de sobriété et révèle des ambiances chaleureuses et très contemporaines. Très souvent employé pour les plafonds.

Dans notre cas, nous avons choisi une peinture mate pour les plafonds, une peinture velours pour les surfaces murales et une peinture satinée pour les portes et les huisseries bois.

 ·         2.4 – Teinte souhaitée

Concernant les coloris, je vous conseille de ne pas acheter des peintures déjà teintées. Ces teintes sont souvent issues d’un nuancier propre au fabricant et vous risquez de rencontrer des difficultés pour retrouver la même teinte en cas d’éventuelles retouches ultérieures.

Afin de pouvoir retrouver votre teinte de peinture, même plusieurs années après, l’idéal est de faire confectionner cette teinte suivant les nuanciers « RAL » ou « Chromatic ».

Le nuancier RAL est un nuancier international, connu et reconnu par toutes les marques de peinture. Il est souvent utilisé en partie par les fabricants de menuiseries extérieures pour définir la gamme des couleurs proposées pour leurs produits. Il sera donc important de relever la référence RAL de votre portail ou vos volets, dans le cas où vous voudriez peindre un accessoire de la même teinte. Cependant, ce nuancier peut s’avérer trop restreint pour trouver certaines teintes, notamment les coloris pastels souvent utilisés en intérieur. 






Le nuancier CHROMATIC est un nuancier utilisé par de nombreux fabricants de peinture et de nombreuses enseignes de magasins de bricolage (Leroy-Merlin, Weldom, etc). Au fil des années, ce nuancier est devenu une référence incontestable. Il a l’avantage d’offrir un large éventail de coloris, bien plus important que le nuancier RAL. C’est le nuancier idéal pour choisir vos couleurs pastels.










MON CONSEIL : Concernant les surfaces murales intérieures, choisir de préférence les teintes les plus claires, se trouvant en bout de l’éventail. N’oubliez pas que sur une grande surface les teintes paraissent toujours plus foncées. Après avoir choisi votre teinte, n’hésitez pas à descendre de deux teintes plus claires avant de commander votre peinture.

Dans le cadre de nos travaux, nous avons choisi les teintes suivantes :

·         RAL 9010 (blanc) pour les plafonds et murs ;

·         CHROMATIC CH1 1141

(gris Gémini) pour les portes et huisseries



 

·         2.5 – Caractéristiques techniques et environnementales

 Les peintures sont principalement divisées en 2 familles :

·         Les peintures acryliques (phase aqueuse) ;
·         Les peintures glycéro (phase solvant).

Les peintures acryliques sont beaucoup moins nocive pour l’être humain et aussi plus respectueuse de l’environnement. Les pinceaux et autres accessoires utilisés pour l’application de la peinture sont nettoyable à l’eau. C’est le cas d’une grande majorité de peinture vendu aujourd’hui dans le commerce.

Les peintures glycéro sont réservées à des applications spécifiques. Elles nécessitent une bonne aération des locaux et le port d’équipement de protection individuel (EPI). Les pinceaux et autres accessoires de peinture doivent être nettoyés au white-spirit ou au diluant. Cependant, elles restent dans certains cas plus performantes que les peintures acryliques, notamment en ce qui concerne la peinture des métaux.

Au sein de ces deux familles, plusieurs autres caractéristiques pourront aussi orienter notre choix, en fonction du contexte de notre projet. Parmi les principales :

Les peintures microporeuses qui permettent de peindre le bois tout en le laissant respirer ;

Les peintures alkyde qui contiennent un liant renforçant leur résistance ;

Les peintures polyuréthane principalement utilisées pour les métaux ;

Les peintures pliolite pour le traitement des façades.

S’ajoutent ensuite les caractéristiques environnementales qu’il ne faut tout de même pas négliger si l’on veut préserver notre planète :

·       Emissions air intérieur (lettre A à D) ;
·       Taux de C.O.V. (g/l) ;
·       Divers labels (Ecolabel, Excell zone verte, Excell +, etc)

Concernant notre chantier, nous avons choisi :

·         Une peinture acrylique mate de couleur blanche pour les plafonds
·        Une peinture acrylique velours de couleur blanche pour les murs
·   Une peinture acrylique laque satinée teinte grise (CHROMATIC CH1 1141) pour les portes et huisseries.



3.     Réalisation des travaux

Après l’opération de ponçage et nettoyage décrite au chapitre 1, nous pouvons alors commencer la mise en peinture des supports. Nous commençons par protéger les parties à ne pas peindre avec du ruban adhésif de masquage (menuiseries extérieures, huisseries, plinthes, etc).









Nous ouvrons alors le pot de peinture mate, destiné aux plafonds, et nous prenons soin de bien mélanger la peinture avant d’en verser une petite quantité dans le bac à peinture. Ensuite, nous imbibons le rouleau de peinture et le faisons rouler sur la pente du bac à peinture avant d’appliquer la peinture sur le plafond, afin de ne pas faire couler la peinture au sol. Pour l’application de cette peinture, nous avons choisi un rouleau laine.

Dans un premier temps, nous appliquons une couche de peinture blanche mate sur l’ensemble des plafonds et surfaces murales. Après séchage, nous passons une deuxième couche de peinture mate sur les plafonds. Ensuite, en respectant les temps de séchage de chaque phase, nous passons une couche de peinture de finition velours sur les surfaces murales et deux couches de peinture satinée sur les huisseries en bois. A chaque étape, nous prenons soin de masquer les parties déjà peintes avec du ruban adhésif de masquage. Concernant l’appareillage électrique (prises et interrupteurs), les caches de protection provisoire ont été conservés jusqu’à la fin de l’opération de peinture.



Pour faciliter la mise en peinture des portes, nous les avons posé sur tréteaux en bois. 

MON CONSEIL : Prenez soin de noter le nom du local sur le bas de chaque porte, afin de vous souvenir de leur emplacement au moment de les remettre en place.

 4.     A suivre…

 











mercredi 10 mai 2023

RENOVATION - Etape 7 - Doublages & Cloisons

 Après avoir réalisé l’enveloppe de la maison et la planéité du sol, nous allons aujourd’hui passer à l’isolation de la maison et la pose des cloisons.

 1.     Analyse du besoin

 L’objectif final étant d’obtenir un logement fonctionnel et le plus économe possible en termes d’énergie, tout en respectant la fourchette budgétaire que nous nous sommes fixé pour l’achat des matériaux.

 2.     Travaux effectués

 Concernant le doublage des murs, les deux principaux procédés sont les suivants :

·         Type A : Doublage par complexe composé d’une plaque de plâtre et d’un isolant (laine de verre ou polystyrène) à coller sur les parois ;

·         Type B : Doublage dit « demi-stil » qui consiste à visser une plaque de plâtre sur ossature métallique avec l’incorporation d’un isolant entre le mur et la plaque de doublage.


La variante de type A offre l’avantage d’être moins cher à l’achat et souvent plus rapide à poser. Cependant, ce type de doublage ne pourra être collé que sur un support sain et relativement droit. Par ailleurs, cette variante complique le passage des réseaux qui doivent être posés à l’avancement du chantier, sans réduire l’épaisseur d’isolant. Tout passage d’une gaine ultérieurement à la pose du complexe viendrait détériorer en partie l’isolant.

La variante de type B facilite le passage des réseaux qui peuvent être mis en attente dès que l’ossature métallique et l’isolant sont posés. Cette variante offre aussi l’avantage de pouvoir obtenir une planéité parfaite des parois.

Dans notre cas, nous avons décidé de poser un doublage de type B (doublage demi-stil).

L’alignement des doublages est tout d’abord réalisé à l’aide d’un niveau laser multilignes. Une fois l’alignement calé, nous pouvons alors poser l’ossature métallique. Dans notre cas, ayant choisi un plafond rampant, l’ossature de ce dernier est réalisée en premier.


Concernant le plafond, l’ossature métallique a été constituée de fourrures S47 et suspentes P.

Concernant les doublages, nous avons fixé un rail contre-cloison au sol et deux fourrures S47 horizontales au mur. Une première fourrure fixée à 20 cm du haut du doublage et une autre à mi-hauteur. Des fourrures verticales ont enfin été emboîtées dans le rail inférieur et fixées aux fourrures horizontales par l’intermédiaire d’appuis optima 2 de chez ISOVER. Conformément aux prescriptions du fabricant, les fourrures verticales ont été posées tous les 60 cm.


 







Nous procédons ensuite à la mise en place de l’isolant. Pour ce chantier, nous avons utilisé les produits suivants :

·       -  Doublages : Laine de verre GR32 Kraft ép. 120 mm de chez ISOVER (3,75 m²K/W);
- Plafond : Laine de verre Mineral Wool Terra ép. 200 mm de chez URSA (5,70 m²K/W).

 NB : Le mètre carré-kelvin par watt (m² K/W ) est l'unité de résistance thermique surfacique . C'est aussi l'unité choisie dans le bâtiment pour mesurer la résistance thermique d'un matériau.


Avant la fermeture des doublages, nous passons tous les réseaux électriques, circuits d’adduction d’eau et conduit de VMC. Ces réseaux sont alors laissés en attente jusqu’à la pose des plaques de plâtre.


Une fois les réseaux passés, nous commençons à poser les plaques de plâtre au plafond, à l’aide d’un lève-plaques. Pour effectuer ce plafond, nous avons utilisé des plaques de plâtre de type BA13 standard, à l’exception du plafond de la salle d’eau pour lequel nous avons utilisé des plaques de type BA13 hydrofuge. Une fois positionnée, chaque plaque sera visser sur les fourrures métalliques par des vis de type TTPC 35 (appelées généralement vis Placo). 



Nous procédons ensuite à la fermeture des doublages par la pose de plaques de plâtre de type BA13 standard dans le séjour, la chambre et le WC et BA13 hydrofuge dans la cuisine et salle d’eau.



Dans la continuité des travaux, nous traçons alors les cloisons au niveau laser et posons l’ossature métallique de celles-ci. Cette ossature métallique est composé de rails haut et bas de 48 mm (R48) et montants verticaux de 48 mm (M48), afin d’obtenir des cloisons de type 72/48 de 39dB après incorporation d’une laine de verre de 45 mm. Les huisseries des portes de communication sont posées à l’avancement. Afin de solidifier ces cloisons, les montants ont été doublés tous les 60 cm.

Une fois l’ossature et les huisseries posées, nous posons donc la première peau en plaques de plâtre de type BA13 et mettons en place l’isolant phonique. Viendra ensuite le passage des réseaux électriques, avant la fermeture des cloisons, puis la mise en œuvre des bandes de calicot et la réalisation des enduits.



Petite astuce : Sachant que le plafond a été posé sous rampant, nous avons créé un décroché au niveau de l’entrée pour permettre l’installation du caisson de VMC et le positionnement des boites de dérivation. Une trappe métallique de 60x60 cm permet l’accès à cet espace.

   3.     A suivre…












lundi 10 avril 2023

RENOVATION – Etape 6 – Ragréage du sol

 Toutes les canalisations en partie basse sont désormais posées et les tranchées ont été rebouchées au béton. Nous allons donc préparer le sol à pouvoir recevoir le carrelage.

1.1.     Analyse du besoin

Malgré l’attention portée au rebouchage des tranchées et au grattage du sol, celui-ci présente quelques aspérités qui nous permettent pas de pouvoir coller directement le carrelage dessus. Il nous reste donc deux solutions :
·  Soit on pose le carrelage sur chape maigre, afin de rattraper le niveau ;
· Soit on réalise un ragréage du sol, afin de pouvoir poser le carrelage à la colle.

Sachant d’une part que nous sommes limité en hauteur et d’autre part que nous souhaitons simplifier la pose du carrelage pour être en mesure de le faire nous-même, nous adoptons donc la deuxième solution qui consiste à réaliser un ragréage.

 2.     Préparation du sol

La première étape consiste à la préparation, afin que notre ragréage puisse adhérer au sol. Nous allons pour cela vider complètement la maison et procéder au grattage du sol à l’aide d’un grattoir à manche.


NB : La canalisation d’évacuation du futur lavabo a été protégé en posant un seau à l’envers, calé avec un ancien carrelage. Une attention particulière sera portée sur ce point, afin de ne pas détériorer cette canalisation lors des travaux.

Après avoir gratté le sol, celui-ci est balayé pour enlever les plus gros morceaux, puis dépoussiéré à l’aide d’un aspirateur.

Nous appliquons ensuite un primaire d’accrochage(1) à l’aide d’un vieux rouleau à peinture que nous avons fixé au bout d’un manche à balai.

(1) Primaire d’accrochage de type Weberfloor de chez Weber, ou primaire d’accrochage de chez Parexlanko, ou équivalent. 

3. Mise en œuvre du ragréage

Après séchage du primaire d’accrochage, nous allons alors pouvoir réaliser le ragréage.
Dans une grande bassine remplie à moitié d’eau, nous versons peu à peu le ragréage, en mélangeant de manière continue à l’aide d’un malaxeur électrique, jusqu’à obtenir un produit homogène et restant liquide. Pour les proportions moyennes, vous pouvez vous aider des dosages notés sur les sacs de ragréage.

Dans notre cas, nous avons choisi un ragréage fibré de chez PRB, mais ce type de ragréage peut se trouver chez d’autres fournisseur. Le principe est identique quelque soit la marque choisie. Le but étant de ne pas avoir de grumeau.



Ainsi préparé, le ragréage est versé sur le sol. Ce produit étant autonivelant, il va se mettre automatiquement de niveau et nous allons juste aider son nivellement à l’aide d’une lisseuse en inox.



Nous veillerons à enlever le maximum de bulles et retirer les éventuels grumeaux, afin d’avoir une surface plane et uniforme.



Notre ragréage est maintenant terminé et n’avons plus qu’à nettoyer nos outils et attendre le séchage de notre sol avant de passer à l’étape suivante.

11  4.     A suivre…